Timeline des persécutions

Inversée chronologiquement, cette timeline référence jour après jour, semaine après semaine, mois après mois, année après année, tout ce que je subis. Je ne serai pas exhaustif car je reçois des centaines de messages secrets par jour. Mon but n’est donc pas de tout dire mais de donner des échantillons / des exemples très précis au fur et à mesure qu’ils se produisent. Un autre objectif est de purger ce qui m’a potentiellement blessé en le couchant par écrit. En réalité, depuis le temps, le contenu des attaques, des messages n’a plus réellement la possibilité de me blesser : j’y suis largement habitué. C’est la fréquence, l’acharnement continuel que cela constitue ainsi que les conséquences très néfastes sur mon corps et ma santé psychique qui font réellement mal.

Le surhomme qui me viole tous les jours compte sur l’impermanence (le temps qui passe) pour effacer ses méfaits. En créant cette timeline, en écrivant ce qu’ils font, c’est la justice qui est à l’œuvre. Ce n’est pas une justice qui punit, c’est une justice qui écrit. Elle écrit ce qui s’est passé dans l’idée qu’un jour peut-être, les hommes ne participeront plus à de telle cruautés et absurdités et condamneront de toutes leur âmes ces pratiques de monstre. Espérons qu’un jour, tout cela sera mis en lumière et jugé par l’histoire comme étant une simple forme de torture psychique aussi raffinée que bestiale diminuant considérablement ce qu’est l’Homme. Tout système qui a pour fondement la cruauté, doit être dépassé.



Du 29 février au 5 mars 2024

Aux alentours du 28 février, j’ai modifié plusieurs articles Wikipédia relatifs à Jean-Jacques Rousseau :

En plus de transmettre ce qui m’apparaît être la vérité sur Wikipédia, cela me permet de créer des liens entrants vers ce site web « persecution.fr ». A ce titre, je m’attendais à ce qu’il y ait des retours par l’entremise de mon entourage concernant le mot-clé Rousseau. Mais je ne savais pas trop quelle forme prendrait ces retours étant donné que personne dans mon entourage, ne semble particulièrement intéressé par les écrits de Jean-Jacques Rousseau. Quelle forme pouvait donc prendre le viol psychique ?

Le 29 février, je travaillais dans mon association de sauvegarde des animaux sauvages. Le matin, dans mon infirmerie, un nouvel oiseau était arrivé : un pigeon découvert dans une rue « Jean-Jacques Rousseau ». Le pigeon était jugé particulièrement élégant par mes collègues et il y a eu des commentaires sur ce pigeon toute la journée. Dois-je préciser l’équivocité présente derrière le mot pigeon ? Le pigeon, c’est celui qui s’est fait « avoir », qui est tombé dans le panneau etc…

Le lendemain, je me rendais cette fois dans l’association de malades psychiques. Une balade avait été organisé durant l’après-midi, au lieu-dit le désert de « Jean-Jacques Rousseau ». Puis une adhérente a fait venir son frère « Jean-Jacques » dans les murs de l’association. Il restera 2 heures et ne prononcera pas un mot.

Voilà en gros les méthodes pour faire savoir à une personne que chaque détail de sa vie est scruté.

Hier, le 5 mars 2024, je discutais par texto avec un adhérent de cette même association. Je savais qu’il était un agent par le choix de son pseudonyme ostensiblement équivoque et par plusieurs autres éléments que je ne vais pas lister ici. Je suggérais qu’on échange plutôt via la messagerie de Facebook pour pouvoir écrire sur un vrai clavier et non pas sur un smartphone. Il acceptait et nos échanges sur Facebook commençaient. Puis instantanément, j’ai été déconnecté de Facebook, perdant la fenêtre de messagerie. J’ai cru d’abord à une erreur de ma part et j’ai simplement tenté de me reconnecter. Cela était impossible, le mot de passe ne semblait plus correct. Je vérifiais que le mot de passe était bien le bon mais ce dernier restait non reconnu. Je demandais une procédure de réinitialisation de mot de passe par envoie d’un code sur mon téléphone portable mais le code n’est jamais arrivé. J’ai alors demandé l’envoie d’un message sur mon adresse email et encore une fois, l’email de réinitialisation n’est jamais arrivé. Ce n’est qu’aujourd’hui que j’ai pu enfin changer le mot de passe et me reconnecter à Facebook. Je ne sais pas exactement ce qui s’est passé ni pourquoi quelqu’un semblait ne pas vouloir que j’échange avec cette personne via Facebook. Néanmoins, cela fait trop de coïncidences successives pour que je crois au hasard. Je rappelle que mon niveau en informatique est celui d'un informaticien professionnel.

Le 28 février

Dans mon association de malade psychique, il y a eu un groupe de parole dont le thème était « projet d’avenir ». J’ai pris la parole pour orienter la discussion sur le manque affectif et sexuel ainsi que les éventuels projets de rencontre amoureuse des adhérents. Cette thématique est relativement taboue dans notre groupe et a fortiori, dans l’univers de la psychiatrie. Je savais donc que je faisais ma B.A en orientant la discussion sur un thème que tout le monde aime mais que personne n’ose aborder. 10 ans de persécution offrent un avantage : cela booste suffisamment l’estime de soi pour ne pas craindre de donner son opinion sur n’importe quel sujet sans craindre le regard des autres. On acquiert une liberté de ton appréciable ce qui peut ultimement bénéficier aux groupes ou aux personnes coincés dans le non-dit. Je ne fus donc pas particulièrement surpris de recevoir des fleurs pour ma B.A, 1 ou 2 heures plus tard : alors que j’étais sur l’autoroute, un poids lourd passait devant moi sur un pont avec l’inscription « QFORT » en gros sur sa remorque. Chacun pourra traduire ce message en « tu as géré en orientant la discussion sur le cul ». J’ai dit ailleurs qu’il y avait parfois des flatteries dans les messages envoyés : en voici donc un exemple. L’utilisation des poids lourds (via le message sur la remorque) pour transmettre un message secret est une technique de base. Je l’ai vécu plusieurs milliers de fois. Le lecteur pourra se demander : « mais qui peut bien se faire chier ainsi à organiser une telle distribution de messages qui a priori semble assez énergivore et time-consuming ? ». Je me pose la même question depuis 10 ans.

Le 27 février

J’ai invité un pote à manger chez moi. Je suis végétarien et j’avais préparé des lasagnes végétariennes. Il cuisine également et m’a parlé de son plat végétarien favori : épinard, lait de coco, curry, poids chiche. Un truc du genre. Il y a probablement de l’équivocité caché derrière chaque ingrédient mais je vous laisse chercher par vous-même parce que son « histoire » est un peu alambiqué. Pour vous donner un exemple plus parlant, quand je « parle » c’est à dire quand je me plains des persécutions que je subis, ma mère cuisine systématiquement de la langue de bœuf ou fait des langues de chats en pâtisserie (technique de base de persécution). Dans un grand nombre de cas donc, ce qu’elle cuisine est corrélé à ma vie, ce que je fais etc… Si je passe du temps avec une fille jugée par mes persécuteurs comme étant pas très belle, elle cuisinera du boudin etc… C’est laid mais c’est ce qu’ils font tous : coder des messages informatifs par des actes. Le soir mon pote m’a envoyé la photo de son plat « épinard/curry/lait de coco/pois chiche » : qu’est-ce que j’en ai à foutre de cette photo ? Il le sait bien et c’est simplement une technique pour insister et être sûr que le message est passé « cherche bien, il y avait de l’information cachée dans cette recette ! ». Pour être absolument sûr que je ne rate pas le message, on ajoute une petite affiche en arrière fond avec un message toujours équivoque « à la conquête des pôles ». Une personne non-aware pensera certainement que je vois le mal partout. Malheureusement, dans mon cas, il est partout.

Mon pote avait retrouvé du boulot après un licenciement. L’histoire de son licenciement me semble un petit peu trop lisse mais disons que je lui accorde le bénéfice du doute. Je vais donc vous raconter une autre histoire. Mon pote avait aussi trouvé du boulot pour moi ! Assistant d’éducation en prison ! Il sait pourtant que j’ai été interné en HP sous contrainte et que je prétends toujours faire l’objet de persécution par les services secrets. C’est dire si sa proposition est cohérente ! Il connaissait la responsable des formations pour prisonniers qui était, selon ses dires, une très bonne copine à lui. Elle cherchait tout le temps à recruter de nouveaux formateurs parce qu’apparemment, on ne se bousculait au portillon pour travailler en prison. Il avait pensé à moi et insistait pour me filer le numéro de sa copine. L’affaire semblait déjà régler et le poste semblait tailler sur mesure pour moi : payer au SMIC, pas de sélection, job faisant sens a priori car laissant supposer des possibilités de lutter contre la souffrance des détenus. Bref, mon premier réflexe fût un « pourquoi pas » : je tombe systématiquement dans les pièges qu’on me tend, je ne sais pas pourquoi. Mais je me ressaisissais rapidement sentant qu’il y avait plusieurs petits problèmes.

Déjà, il faut noter qu’à chaque fois qu’on vous fait une proposition alléchante à base de « j’ai une copine qui cherche quelqu’un avec ton profil, j’ai pensé à toi », « mon grand-oncle cherche à recruter plusieurs personnes…», dès qu’il y a réseautage, il y a en général les services secrets derrière car le réseau c’est la base même des services/sociétés secrètes. Ainsi toutes les propositions qui arrivent sans que vous les ailliez chercher sont particulièrement louches et suspectes. Le pouvoir en place cherche sans doute secrètement le moyen de mettre les bonnes personnes à la bonne place pour générer le maximum « d’harmonie ». Il en résulte des propositions de travail qui passent par des canaux discrets et qui ne sont donc pas proposées à tout le monde.

Si j’avais appelé la copine de mon pote, j’aurais sans doute décroché le job alors même que j’ai galéré toute ma vie pour trouver du travail. Le plus évident et le plus logique ensuite, c’est que je me serais retrouvé avec des détenus de 16 ans qui sont déjà des agents et qui auraient été chargé de me manipuler comme une marionnette c’est-à-dire de m’en faire baver. Je ne sais pas comment cela est possible mais c’est ainsi : même les détenus sont des agents. Il en aurait été de même avec tous mes collègues ainsi que le personnel de l’administration pénitentiaire. Je n’ai pas particulièrement envie d’enseigner des trucs complétement cons à des adolescents chargés secrètement de m’emmerder. C’est une des raisons qui fait que je n’appellerai jamais la copine de mon pote pour décrocher ce job mais ce n’est pas la raison principale. Si je franchis le seuil d’une prison, c’est avec les pleins pouvoirs c’est-à-dire que si je décide que cette prison est rasée dans les 15 jours, elle est effectivement rasée dans les 15 jours. C’est l’expression de mon syndrome Napoléonien. Pour tout ce qui traite (trop) directement des problématiques de violence, de souffrance ou de privation de liberté, soit je commande et je vérifie que je suis obéi (1) soit je reste le plus loin possible de ces lieux sordides (2). Comme le cas (1) est impossible pour de multiples raisons, la seule solution est (2).

L’après-midi, je suis allé dans mon association de malade psychique. Une adhérente m’a dit être carencé en vitamine B12 tout en jonglant avec le mot-clé végan ici ou là. Il faut savoir qu’on est susceptible d’être carencé en vitamine B12 si on est vegan mais seulement après plusieurs années car il y a de grandes réserves dans le corps. Le matin même, je m’étais renseigné sur internet car je suis végétarien et sujet à de très fortes fatigues. Et évidemment l’après-midi, un agent est chargé de me faire parler sur ce thème. A noter que cette femme-agent n’est, de son aveu même, ni végan ni végétarienne et ne peut donc pas être carencer en vitamine B12. Il s’agit encore et toujours du faux qui se trouve partout.

Le 26 février

Je travaillais dans une association qui soigne des animaux sauvages. Quelques jours plus tôt, je m’étais vaguement plaint à mes parents du manque de pause durant mes journées de travail : les journées passées debout sans interruption sont longues quand on souffre du dos. Résultat, le mot-clé de mon binôme de travail était « chaise et/ou pause » et il a placé ce mot-clé tout le long de la journée : « ce serait bien d’avoir une chaise dans l’infirmerie pour s’asseoir », « vient on fait une pause » (on ne fait jamais de pause normalement) etc… Le but est toujours d’illustrer la transmission d’information et l’utilisation qui est en faite pour blesser l’autre, lui rappeler chaque seconde de son existence comment il est violé et manipulé par tous les autres.

Puis une soigneuse m’a ouvertement dragué, me posant diverses questions personnelles, me demandant de lui préparer des boutures de thym etc… Il y a 10 ans, le pouvoir en place m’a fait interné sous contrainte dans un hôpital psychiatrique 15 jours avant mon mariage détruisant ainsi notre couple (nous étions ensemble avec ma copine depuis une dizaine d’année) … Aucun motif sérieux pour cet internement : je n’étais ni dangereux pour les autres ni dangereux pour moi-même (aucune menace, aucune intention hostile…) : il ne s’agissait que de persécutions politiques (l’internement est une technique de base). Depuis le pouvoir en place m’interdit toute liaison avec la gent féminine. Et il y a régulièrement des femme-agents qui s’amusent à me frustrer dans ce domaine-là. Je ne compte plus le nombre de femmes qui m’ont laissé espérer des choses avant de se rétracter au tout dernier moment. C’est légal et c’est encore et toujours une technique de persécution de base.

Le 25 février

Je suis allé me balader en forêt et j’ai visité une cabane. Dans cette cabane, il y avait un seul livre : un polar de Michael Connely nommé « Dark sacred night ». Les mots « obscurité » (darkness) et « nuit » (night) sont des mots qui font explicitement référence aux mondes secrets et horribles que je décris. Il y a quelques années (~2016-2019), j’avais passé pas mal de temps dans les cabanes de montagne dans les Alpes pour réfléchir à ce qui m’arrivait. Régulièrement, un polar au titre équivoque et angoissant m’attendait dans la cabane. Il s’agissait à cette époque de menaces de mort à peine voilées. C’est encore une technique de base. Mais le 25 février, il s’agissait d’une cabane très austère, peu connue, entretenue par les chasseurs locaux. La présence d’un tel livre en version anglaise n’est pas le fruit du hasard. Il a été laissé intentionnellement à mon intention il y a quelques années de cela car la probabilité que je squatte cette cabane était jugée très élevée. Et dans les faits, cela s’est avéré exact : j’ai visité cette cabane et je suis donc tombé sur le bouquin. L’après-midi, je suis retourné dans mon association de malade et des références à la forêt était présente ici ou là : telle adhérente avait oublié son paquet de « Hollywood » (wood=bois) chewing gum à la chlorophylle (bien en évidence sur la table pour être sûr que je ne le rate pas), telle sortie en forêt était prévue le samedi suivant etc…

Le 24 février

Suite à la création et publication de cette timeline, un adhérent de l’association de personnes atteintes de trouble psychique où je me rends très régulièrement aura cette phrase : « On a oublié d’acheter les fayots » hors de tout contexte crédible. C’est donc bien la version équivoque du mot fayot (celui qui parle, celui qui « rapporte » la vérité à la maitresse) qui a été lancé en guise d’insulte à mon intention. Encore une fois, je ne crois pas que l’adhérent cherchait à m’insulter : il inventait simplement une histoire basée sur le mot-clé fayot, que le pouvoir en place lui avait indiqué par un moyen que j’ignore. Cette après-midi-là, un flot de messages de ce type fut déversé à mon intention : je n’en relate qu’un ici pour des raisons de mémoire évidentes.

En rentrant chez moi le soir, je suis passé par une route au bord de laquelle il y a un immeuble avec une fresque récente (datant d’il y a quelques années). Il s’agit du dessin d’un poisson sortant de l’océan avec des sortes de pattes. J’ai déjà décrit ailleurs les allusions à l’existence de deux mondes / deux planchers : l’océan avec les poissons (les gens non avertis / non aware qui fonctionnent tel un banc de poisson : on les manipule comme on veut, on leur fait faire ce que l’on veut) et la terre avec les agents et leurs lois secrètes. Le poisson sur patte illustrerait celui que je suis : un poisson capable de sortir la tête de l’eau et de décrire la « terre ». Je ne suis pas certain que cette fresque ait été dessiné uniquement à mon intention (les buts et intentions sont souvent multiples) mais je le soupçonne néanmoins. L’erreur serait de croire que le pouvoir en place autorise un tel dessin sur un immeuble sans qu’il y ait de message réel, de description de la réalité : ce ne serait que de l’art : l’imagination débordante de jeunes artistes. Toute interprétation « noire » relèverait de la paranoïa. Non, il y a toujours un sens et un message caché et personne ne peut peindre une telle fresque sans l’autorisation du pouvoir en place d’une part et sans que cela illustre une réalité, une vérité secrète d’autre part. C’est triste mais c’est la réalité.

Le 23 février 2024

Je souffre de gros problème de sommeil. La raison principale est un gros mal de dos qui me réveille continuellement et nécessite que je m’étire plusieurs fois durant la nuit. Les persécutions continuelles affectent également fortement la qualité de mon sommeil. La conséquence c’est que je passe l’essentiel de mes journées complétement épuisé et je peux constater à quel point mon psychisme en est affecté, déstabilisé. Le 23 février, ce ne fut pas le cas. J’avais réussi à dormir exceptionnellement bien ce qui a généré l’effet inverse : une énorme stabilité psychique que je n’avais pas vécu depuis des mois. Dans ces conditions, les persécutions n’ont pas de prise car le psychisme est comme « drogué » par une quantité suffisante de sommeil. Cet effet peut aussi être remarqué avec l’alcool : les persécutions ont moins de prise sur une personne en état d’ivresse. Néanmoins, ce dernier cas de figure représente un grand danger car les personnes victimes de persécutions peuvent se réfugier dans l’alcool pour souffrir moins, pour tenir. A long terme, cela peut les tuer comme chacun sait. Je suspecte qu’il y a eu un grand d’assassinats orchestrés en poussant les opposants dans l’alcool à force de persécutions secrètes.

Le 23 février, j’ai pu noter un message envoyé dans la série « The sinner » saison 2, épisode 7, 4 minutes 2 secondes. On peut voir un poster placardé sur un casier montrant un chat ainsi que l’inscription « no one likes a bad attitude » (« personne n’aime une mauvaise attitude »). La métaphore du chat est souvent utilisée pour désigner ceux qui veulent profiter du système secret ainsi que ses avantages sans en payer le prix. Les chats acceptent la pâtée que leur offre leur propriétaire mais veulent conserver leur indépendance. Pour opprimer ceux qui refusent de participer à cela, il semble classique de les traiter secrètement de « chat » à longueur de journée pour tenter de les blesser / les faire réfléchir puis de les retourner. A noter que les agents sont au contraire souvent assimilés à des chiens : en échange de la pâtée, ils vouent une fidélité absolue à leur maître. Je ne sais pas exactement à quoi fait référence le message « personne n’aime une mauvaise attitude » mais je sais qu’il n’est pas là par hasard. Vous avez-là un exemple typique de message secret envoyé par l’intermédiaire d’une série télévisée. Si vous pensez que je vois le mal partout et que ce poster n’est là que par hasard, vous vous trompez. Il n’y a pas de hasard. Quand un message est aussi visible et aussi clair à l’écran, soyez bien certain qu’il y a un ou plusieurs destinataires secrets.

Le 22 février 2024

Depuis quelques jours, je passais du temps pour étoffer ce site web : création des pages « référencement » et « timeline », inclusion de google analytics… Quel fût donc le sujet de discussion du jour, dans l’association pour les personnes atteintes de trouble psychique où je me rends tous les jours ? Les sites web, facebook, les informations que l’on est en droit ou non de publier : selon eux, les évènements, on peut les publier, les noms/prénoms on n’a pas le droit de les publier. La moyenne d’âge des gens qui tenaient cette discussion devait être 50 ans. Le principal orateur a confessé de lui-même ne pas utiliser ni connaître facebook. C’est dire à quel point cette conversation n’émergeait pas de leurs propres volontés et leur était donc imposé secrètement. On comprend vite qu’il y a eu à nouveau un mot-clé de conversation suggéré comme par exemple : « internet, réseaux sociaux, anonymat et protection de la vie privée », un truc du genre. La timeline que je crée ici ne leur importe probablement pas à condition que je ne publie pas leur identité. Leur image (vis-à-vis d’eux-mêmes et de leurs proches) leur importe probablement plus que je ne l’imagine et ils ne supporteraient pas de voir écrit en clair leur noms/prénom associé aux actes auxquels ils participent. Des forces de contrôle et de censure veillent à ce qu’internet et les réseaux sociaux ne deviennent pas un vaste lieu de commérage, de diffamation laissant des traces permanentes qui suivent les individus jusqu’à leur mort. Une personne non-aware pourra aisément comprendre et voir que ce que je dis est vrai : toutes les bêtises, bassesses et méchanceté que vous-même ou vos proches avaient commis durant vos vies sont-elles publiées sur internet ? Si non pourquoi ? Le pouvoir en place protège ses agents ainsi que les « poissons » et leur garantie anonymat, impermanence et vie privée : leurs méfaits sont couverts. Mais comme pour tout, il y a un prix à payer pour jouir de ce privilège : les agents sont obligés de se soumettre aux règles et lois secrètes de ce système, les « poissons » sont manipulés et façonnés intégralement, les hommes comme moi sont persécutés.

Au cours de cette journée, j’ai également créé un premier lien externe depuis la page wikipedia JCVD (film). Pour cela, j’ai créé un compte wikipedia et modifier la page en question. Voici la photo du captcha qui m’a été proposé :

Le mot « percybeck » n’a probablement pas été choisi au hasard. Mon interprétation est quelque chose du genre « père si bec » c’est-à-dire « obtient un rôle de Père si parle / ouvre sa gueule ». J’ai décrit ailleurs que le système code souvent l’information en homme/femme (politiques vs agents) ou mère/père (mère-patrie vs « ceux qui refusent de se taire » c’est-à-dire les pères). Ces histoires de père/mère peuvent tout aussi bien être de l’intoxication pure et dure que représenter une forme de réalité décrivant la structuration de leur société secrète. Je donne cet exemple essentiellement pour donner un panorama le plus vaste possible des techniques utilisées pour transmettre de l’information secrètement : ici par l’intermédiaire d’un captcha. Précisons pour ceux qui l’ignorent qu’un captcha est censé être choisi aléatoirement par un algorithme.

Le soir, j’ai reçu un texto d’une collègue de boulot pour confirmer le covoiturage du lendemain. Tous les vendredi matin à 8h35, je la récupère en voiture pour l’amener au centre de sauvegarde des animaux sauvages où nous travaillons tous les deux. Cela fait plusieurs mois que l’horaire du RDV faisait l’objet d’une lutte acharnée de sa part, pour transformer le 8h35 en 8h30. Il n’y a pas de raisons particulières à cela car nous arrivons à chaque fois à l’heure au boulot. Je ne publie pas l’échange de texto par flemme mais on y voit subtilement chaque semaine, la tentative de me faire modifier l’horaire ou de rappeler l’existence d’un point de crispation concernant cet horaire. Je ne crois pas une seconde que ma collègue souhaite réellement que j’arrive à 8h30 : cela n’a pas la moindre importance pour elle. Mais, en temps qu’agente, elle est contrainte par le pouvoir en place de tenter de modeler la réalité dans une direction (RDV 8h30) et pas une autre (RDV 8h35). Comprendre ce que représente le pouvoir en place / le surhomme / la nation / la police politique secrète c’est comprendre que ce qui est en jeu c’est le contrôle de la réalité. Les agents doivent apprendre à mentir / manipuler / pressuriser / opprimer / persécuter pour que la réalité devienne conforme à la volonté du surhomme/nation/pouvoir en place. C’est cela être un agent. Pour la petite histoire, je suis arrivé à 8h40 parce qu’il avait gelé. Ma raclette a cassé pendant que je dégivrais. Mon spray de dégivrage s’est avéré être bouché et ma troisième raclette (une sorte de gant/raclette) était cassé à l’intérieur dont nettement moins efficace. Cette succession de coïncidence a tendance à m’orienter sur T2 (oppression métaphysique) mais je les attribue tout de même au hasard. Mon niveau d’exigence interne pour qualifier un évènement de surnaturel (c’est-à-dire relatif à T2) est nettement plus élevé.

Janvier 2024

En janvier 2024, durant la rédaction des articles sur Jean-Claude Van Damme, j’ai pu noter un certain nombre de coïncidences « troublantes » dans les situations et les interactions avec mon entourage. Il se trouve que je me rends très régulièrement dans une association pour des personnes atteintes de troubles psychiques. Durant le mois de janvier 2024, le matin, je rédigeais mes articles relatifs à jcvd et l’après-midi, j’allais me changer les idées dans cette association. Je savais évidemment que j’aurais le droit à tout un tas de commentaire « en allemand » (langage à double entente) pour me signifier le fait qu’ils savent ce que je suis en train de faire, qu’ils me surveillent de prés. Car évidemment, mon ordinateur (l’écran) est surveillé en temps réel. Ainsi en l’espace de quelques jours, j’ai eu droit à cela :

Je ne sais pas comment l’information leur est transmise. Je pense qu’on leur indique un mot-clé (par exemple « karaté ») et qu’ils doivent ensuite inventer et me raconter une histoire relative à ce mot-clé. Tout cela peut prêter à sourire et ne semble a priori pas bien méchant. Le problème vient dans la répétition : ce ne sont pas 2 ou 3 messages secrets envoyés par semaine que je reçois mais des dizaines / centaines de messages par jours relatifs à mes activités, quelles qu’elles soient. Chaque personne qui rentre en contact avec moi semble charger de me raconter une histoire qui, à bien y regarder de près, est relatif à ma vie. Ainsi, la plus grande partie de ce que me racontent mes proches et mes collègues tous les jours est complétement inventé / faux / farfelu. Evidemment, une personne qui n’est pas au courant de ces pratiques, une personne qui n’est pas « aware » ne peut pas me croire. Elle pensera que je suis victime de surinterprétation pathologique. Elle pensera que tout ce que je relate ne sont que des coïncidences qui s’expliqueraient très aisément à l’aide de statistique ou de probabilité. Les agents lui proposent une explication toute faite : « coïncidence statistique malencontreusement interprétée par une personne fragile sur le plan psychique » et cette personne non-aware y adhère parce que c’est l’explication qui lui semble la plus raisonnable d’une part et parce que c’est l’explication à laquelle elle a le plus intérêt à adhérer d’autre part. En effet, si elle devait me croire envers et contre tout et ne pas gober la soupe que tente de lui distiller les agents, son monde s’effondrerait rapidement et elle se retrouverait rapidement dans la même situation que moi (persécution secrète). Je ne sais pas comment les agents peuvent accepter de se livrer à un jeu si cruel tout en dormant la nuit.

Pendant la rédaction de l’article sur le film jcvd, je regardais le soir une série policière américaine nommée the shield (saison 2, épisode 13). Un soir, j’ai pu constater qu’il était fait référence à un certain «Cletis Van Damm». Et je savais évidemment pour y être habitué depuis des lustres avec 1000 autres films et séries, que ce n’était pas une coïncidence. Je savais même avant de commencer l’épisode du soir qu’il y aurait des choses dans ce genre-là, c’est dire à quel point j’y suis habitué.

Deux hypothèses possibles :

Un lecteur non-aware dispose ici d’une expérience possible pour investiguer la nature de la réalité. Il peut regarder par lui-même l’épisode 13 de la saison 2 de the shield pour voir si dans sa version, il est également fait référence à un certain Cletis Van Damm (à 6 minute 20 dans ma version). Voici l’extrait de ma version téléchargeable (4Mo) pour comparaison. Ce lecteur non-aware a peut-être déjà le DVD chez lui ou alors, il va télécharger l’épisode via sa propre plateforme ou alors il va le voir directement à la télévision. Deux cas de figure sont possibles :

C’est ce dernier cas de figure qui est susceptible d’être le plus informatif pour le lecteur. Il ne pourra pas tirer de conclusion définitive mais il pourra voir de ses yeux qu’il y a quelque chose qui cloche. Soit je mens, soit ce sont tous les autres qui mentent. Sa quête de la vérité pourra enfin commencer.

Viafx24, le 22 février 2024.