Timeline des persecutions (juillet-octobre 2024)

Un licenciement "brillant"

Je travaille depuis environ 1 an dans un centre de sauvegarde de la faune sauvage. J’y soigne bénévolement des animaux sauvages comme des faucons, des mésanges ou des renards. Il y a quelques mois de cela, j’ai été embauché comme factotum en CDD pour faire du bricolage et participer à l’amélioration de l’organisation. Quand j’ai vu l’email défilé avec l’entête « poste de factotum », je ne l’ai même pas ouvert, sachant pertinemment que cela était un piège à mon intention. Je m’attendais à ce que la direction vienne vers moi pour me proposer le poste, ce qui est arrivé bien-sûr et j’avais mon argumentaire tout prêt pour décliner l’offre. Mais je me suis fait avoir aux sentiments : ils m’ont précisé qu’ils cherchaient quelqu’un pour tout remettre à plat et comme l’organisation sur certains points était clairement optimisable, j’ai accepté. Quand j’ai ouvert la fiche de poste, j’ai vu marqué CDD de trois mois prolongeables en CDI et le poste était nommé « agent factotum » : en double langage, cela pourrait être interprété en termes de proposition secrète « j’accepte votre petit cadeau de poste spécialement conçu pour moi et je rejoins votre secte d’agent en laissant un cheval de Troie rentré en moi (trois mois) ». C’est bien mal me connaître. Mais jusque-là, ils ne m’emmerdaient pas trop dans mon travail de soigneur et comme le job proposé était ingrat, je décidais de l’accepter dans l’intérêt des animaux et de l’association. Bien-sûr, ils pouvaient se mettre un gros doigt dans le cul en ce qui concerne la partie « agent ». J’imagine qu’au bout de 10 ans de persécution, ils n’imaginaient pas sérieusement que je puisse me laisser acheter pour changer des ampoules et laver de la merde de renard…

Et pourtant, sans que je comprenne exactement pourquoi, ils ont immédiatement commencé à accroitre le degré de persécution sur la partie « factotum » de mon travail. Rapidement toutes les lumières sont tombées en panne, suggérant par exemple que j’acceptais enfin de me taire pour rejoindre leur monde obscur ou un truc du genre : je me retrouvais donc à devoir réparer les néons, changer les led, réparer des écrans d’ordinateur, des lampes stylos… Difficile quand on sait que tout est factice. Mais comme je continuais de crier ma vérité sur tous les toits, des fuites ont commencés à se mettre en place de partout : tel robinet, tel tuyau, tel jet d’eau : cela n’arrêtait plus. Depuis quelques semaines, un collègue réussissait particulièrement bien à m’irriter : il insistait (peut-être une cinquantaine de fois) pour que je rajoute un hublot par-dessus une LED que j’avais changé dans un Algeco. Un jour, j’ai craqué et je lui ai craché à la gueule les années de persécution et les tortures qu’on m’a fait endurer en hôpital psychiatrique. Il avait réussi – chose rare – à me faire perdre mon sang froid. Les jours qui ont suivi, j’ai trouvé un transformateur 220V-12V complétement éventré avec phase et neutre apparent mais bizarrement toujours branché dans une multiprise : le message était clair « attention haute tension ». La direction m’a sommé de m’expliquer sur cette altercation. J’y ai consenti à condition que cela soit fait par écrit car cela offre l’avantage de n’être pas déniable contrairement à l’oral. La direction a accepté et j’ai alors envoyé une lettre aux principales personnes concernées (peut-être 5 ou 6). Il va de soi que j’ai été averti le jour même que mon CDD ne serait pas prolongé…

Quelqu’un aurait laissé ce transformateur complétement éventré avec phase et neutre apparent (220V), toujours branché dans la multiprise, tranquillement sur sa table comme si de rien n’était ? Plausible. On commence à comprendre le fonctionnement des services secrets quand on comprend que tout se joue derrière ce mot « plausible » donc « déniable ». Montrez cette photo à un agent, il vous dira qu’il y a toujours des abrutis qui n’y connaissent rien etc…

Bref, je n’avais d’autre choix que d’écrire cette lettre décrivant précisément les faux-planchers qui se multipliaient autour de moi et de dénoncer ces pratiques monstrueuses (voir la lettre ci-dessous). Le lendemain, j’avais évidemment le droit à tout un tas de scène de théâtre se jouant ici ou là. En voici quelques exemples :

Vous pourriez vous demander, quand on vit ce genre de chose, comment peut-on encore douter qu’il ne s’agisse pas de simple persécutions politiques ? Pourquoi j’ai encore des doutes sur leur intentionnalité réelle et donc sur le fait qu’ils ignorent potentiellement complétement ce qu’ils me font ? Et bien la réponse est liée au fait que leur jeu d’acteur est toujours parfait. Il n’y a pas de petits sourires en coin ou de traces de doute ou de culpabilité au regard de la méchanceté qu’ils me font subir. La partition est exécutée sans qu’il n’y ait jamais de « raté » visible sur les visages. C’est une des raisons (mais pas la principale) qui me fait craindre que ces persécutions aient une origine métaphysique.

Voici la lettre envoyée :


Bonjour à tous,

Toutes les personnes mentionnées nominativement dans cet email sont en copie.

A mon arrivé comme factotum au [Institution protégée], un grand nombre de dispositif produisant de la lumière dans le centre sont tombés en panne quasiment en même temps. Un néon de l’Algeco, la lumière de la chambre froide, un écran d’ordinateur, une lampe stylo puis dans un second temps, la lampe du chalet 24H, la dalle d’un ordinateur portable, le néon de la salle de soin etc… La probabilité qu’une lampe donnée tombe en panne peut être estimé très grossièrement à environ 1 chance sur 500 par jour. Soit 1/500 x 1/500 x 1/500 x1/ 500 etc… ce qui amène très rapidement à des probabilités d’occurrence infime. Une autre cause doit donc être cherchée pour expliquer un tel phénomène. La cause la plus probable est l’action sécrète concertée et mise en place par le pouvoir en place dans l’obscurité dans l’objectif de m’envoyer un message. Rapidement après mon embauche, je t’ai averti par écrit, [Identité protégée], de mon statut de politique persécuté.

Cela faisait suite à une demande de ta part de remplacer le code que j’avais choisi pour la boite à clé. Le 8 aout, je t’ai envoyé un email contenant le code choisi à 4 digit (2769 ; les 4 derniers chiffres du numéro de téléphone du [Institution protégée] affiché sur la porte d’entrée). Tu m’as bizarrement demandé de remplacer ce code par un code à 3 digit (007 ; évocation de James Bond et donc des services secrets) que j’ai interprété comme un message déniable à double entente : technique de base de transmission de l’information des services secrets.

Ce qui s’est passé avec [Identité protégée] n’est guère différent et donc ce n’est pas [Identité protégée] en tant que personne qui est mis en cause ici mais l’ensemble des agents en contact avec moi depuis 10 ans ce qui inclut la majorité des gens du [Institution protégée] ainsi que tous mes proches.

Au mois de juillet, j’ai remplacé un néon par une LED dans l’algeco et [Identité protégée] m’a fait remarquer que la présence d’un hublot serait sans doute plus conforme et plus esthétique ce dont j’ai convenu aisément. Dans les semaines qui ont suivi et alors qu’il n’était plus au [Institution protégée], il m’a régulièrement appelé depuis ses lieux de vacances pour savoir si j’avais installé son hublot. Son insistance sur ce thème unique du hublot m’a rapidement fait comprendre qu’il s’agissait de pressions et donc d’oppression sécrète organisée par un léviathan (au sens politique du terme). A son retour de vacances, à chaque fois qu’il m’a croisé, il a continué à aborder ce thème unique du hublot pour me pressuriser à accomplir ce travail. Je suis habitué à ce genre d’empoisonnement de l’existence depuis 10 ans maintenant et j’essaie d’y prêter le moins d’attention possible.

Mais un jour, j’étais du matin en infirmerie 2 et [Identité protégée] est encore venu me déranger peut-être une bonne dizaine de fois (sans exagérer) pour me parler de son hublot alors même qu’il était en soin en volière ce jour-là. Plus tard nous étions dans l’algeco et dans les 15 minutes qui précédaient, il était déjà revenu à la charge 2 fois avec son hublot et j’avais encaissé stoïquement sans rien laisser paraitre, me disant que cette fois, j’allais enfin pouvoir manger tranquille. Puis une éco volontaire (arrivée quelques jours plus tôt) est monté à l’Algeco et m’a demandé si j’allais m’occuper du hublot, comme si cela la concernait en quoi que ce soit ? Ils avaient dû sentir que la pression commençait à monter de mon côté et donc ils multipliaient les coups. Mais j’ai tenu bon encore. Puis une autre éco-volontaire m’a reproché d’avoir utilisé « son » sel qu’elle avait laissé trainer sur la table de l’Algeco : comme si on pouvait reprocher à quelqu’un d’avoir pris du sel ? J’ai tenu bon encore et encore. Je rappelle que j’étais du matin, en soin, en infirmerie 2 -- une infirmerie exigeante psychiquement pour moi car je n’y suis pas souvent--. Mon esprit étant épuisé par dix ans de persécutions ininterrompus, par l’absence de sommeil et par des douleurs physiques chroniques, la goutte d’eau a fini par faire déborder le vase comme on dit. [Identité protégée] est remonté une fois de trop à l’Algeco pour me parler de son hublot et j’ai craqué. Je ne l’ai pas violenté, ni menacé, ni insulté : je lui ai simplement « rappelé » les tortures horribles qu’on m’a fait endurer en hôpital psychiatrique et je lui ai demandé de me foutre la paix.

Le vendredi qui a suivi, j’ai trouvé un transformateur 220V-12V complétement éventré, laissé dans la multiprise sous les talkies walkies (voir photo jointe) et j’ai immédiatement prévenu [Identité protégée]. Le boitier plastique d’un tel transformateur est extrêmement robuste car il répond à des normes de sécurité très précises : il ne casse pas si facilement. Quand bien même il casserait pour une raison ou une autre, aucun adulte -- même un abruti -- ne le remettrait complétement éventré dans la prise électrique avec bobine, phase et neutre du 220V apparent. Ce transformateur éventré représentait un message « situationnel, équivoque et déniable » illustrant peut-être un « attention, haute tension » suite à la perte de mon sang froid le lundi précédent. Ou alors une critique du montage électrique que j’avais fait de la LED dans l’algeco sans hublot laissant entendre qu’il serait peu sécuritaire. Ou alors -- et c’est le plus probable -- n’importe quel prétexte pour maintenir l’oppression à un haut niveau par l’envoi de centaines de messages secrets par jour qui sont autant de coup de bâtons pour un homme épuisé. Je précise que cette histoire de transformateur éventré relève presque du sabotage criminel et de la mise en danger volontaire de la vie d’autrui.

Le lendemain de « l’altercation » avec [Identité protégée], je n’ai pas pu venir au [Institution protégée] et cela a été remarqué par plusieurs personnes dont [Identité protégée], [Identité protégée], [Identité protégée] et [Identité protégée]. Je leur ai mentionné que j’avais été blessé et que je ne savais pas quoi faire et que j’attendais d’avoir l’esprit clair pour répondre. Voici ma réponse :

Si vous n’avez absolument aucune idée, en votre âme et conscience, de ce dont je parle, vous pouvez ignorer l’intégralité du contenu de ce message et je vous présente mes excuses pour le mauvais procès d’intention que je vous fais. Les persécutions que j’endure sont bien réelles mais se situent à un autre niveau et dans ce cas-là, il est préférable que vous considériez que je suis victime d’une psychose paranoïaque grave résistante à tout traitement. En 10 ans, j’ai testé sur de longues périodes au moins 4 antipsychotiques différents, vu une quarantaine de psychiatre et ai été interné à Saint-Egrève et à Saint-Anne sans que mon discours ni mes pensées n’ai jamais changé d’un iota. Les psychiatres ont reconnu que je n’avais jamais menacé ni violenté qui que ce soit et ne représentait donc pas un danger pour la société. Ils m’ont placé en invalidité afin de me protéger financièrement.

A l’inverse, si vous voyez exactement de quoi je parle dans cet email, alors sachez que vous n’avez essentiellement aucune idée des horreurs qui m’ont été infligées ces 10 dernières années dont beaucoup sont bien plus graves que l’envoi de messages équivoques blessant ou la fabrication de faux-planchers ici ou là. Tout cela représente un traitement inhumain et dégradant et il est de ma responsabilité de vous mettre en garde contre ces pratiques cruelles. Aucun compromis n’est possible avec un tel système monstrueux.

Inutile de tenter de discuter de tout cela à l’oral avec moi. Je n’en discute que par écrit justement parce que ce n’est pas déniable.

Je crois avoir mentionné l’essentiel de ce que j’avais à dire et je ne vois rien d’autre à ajouter.

Viafx24 [J’ai signé avec mon identité réelle bien entendu].


Mais ce licenciement qui ne porte pas son nom m’offrait un avantage important. Je tiquais depuis déjà quelques temps sur l’utilisation du glutaraldéhyde dans notre association (un désinfectant nommé « stéranios »): aucune précaution pour la manipulation de ce produit dangereux. Et je ne savais pas comment faire évoluer la situation. Si j’abordais le problème à l’oral avec la responsable, elle l’évinçait du revers de la main en 10 secondes. Mais je suis un « lanceur d’alerte » né : c’est dans mon ADN et je ne sais faire que cela, je ne sais pas pourquoi. Et le glutaraldéhyde m’empêchait de dormir depuis quelques temps. Ecrire par email à la direction, au conseil d’administration et aux principales personnes exposées me semblait l’unique solution mais le risque était énorme de mettre la responsable dans une position délicate (d’affaiblir sa position) alors même que mise à part ce « petit » problème de sécurité, elle fait un travail remarquable pour l’association.

Voici la zone incriminée : pas de hotte d’aspiration, pas de VMC fonctionnelle, pas de gants à usage unique, pas de pictogramme signalant le danger : l’ensemble de la zone peut être considérée comme susceptible d’être complétement contaminé au glutaraldéhyde bien au-delà du seuil autorisé de 0.4mg/m².

Le fait d’être éjecté me permet de dire les choses plus facilement car cela évite que la responsable suppose une volonté de ma part de faire du zèle, de la mettre en difficulté aux yeux des autres etc… Voici le texte que [pour faire simple], je lui ai envoyé, pour l’instant à elle-seule. Vous comprendrez plus tard pourquoi je fais une digression sur un sujet apparemment complétement secondaire par rapport à notre thématique. Vous pouvez lire la lettre ci-dessous en diagonale car elle ne traite pas directement de notre sujet : les persécutions.


Le glutaraldéhyde (la molécule active du stéranios) est un désinfectant dit de « haut niveau » utilisé en médecine humaine ou vétérinaire, notamment pour la désinfection à froid du matériel médico-chirurgical thermosensible. Son intérêt principal, par rapport à des désinfectants de niveau intermédiaire, tient en sa capacité sporicide (en plus de sa capacité bactéricide, virucide et fongicide). Cela est utile lorsque le matériel se retrouve en contact de tissus organiques stériles (cerveau, poumon, muscles…). Mais ce large spectre anti-microbien a un prix : le glutaraldéhyde est une molécule dangereuse. La fonction aldéhyde est hautement réactive et agit comme un cross-linker, formant des liaisons covalentes avec diverses molécules. Cette dangerosité a été réaffirmé récemment en 2021 par la commission européenne, ajoutant le glutaraldéhyde sur la liste des substances jugées extrêmement préoccupantes pour la santé humaine (au même titre que le plomb, le mercure ou le formaldéhyde par exemple). Son utilisation nécessite des précautions extrêmes que nous ne sommes pas, me semble-t-il, en mesure de garantir au [Institution protégée].

D’autre part pour garantir l’asepsie correcte du matériel désinfecté au glutaraldéhyde, il convient de le rincer à l’eau stérile (filtrée à 0.2µm) puis de le placer dans un emballage lui-même stérile, ce que nous ne faisons pas : nous rinçons à l’eau courante et stockons le matériel à l’air ambiant, rajoutant potentiellement instantanément des centaines voire milliers de bactéries et spores. Cette procédure inadaptée nous fait perdre l’intérêt de la désinfection dite de « haut niveau » pour rejoindre un niveau de désinfection dit « intermédiaire ». Ce niveau intermédiaire est adapté pour la désinfection du matériel médical susceptible d’être en contact avec des tissus non stériles comme la peau, les plaies superficielles, la sphère oro-pharyngée et rectale. Pour donner un exemple, il est parfaitement réglementaire en médecine humaine ou vétérinaire, de désinfecter un thermomètre oral ou rectal avec un désinfectant de niveau intermédiaire comme l’alcool modifié à 70° (qui n’est pas sporicide). Ainsi la désinfection de nos seringues (utilisées uniquement pour des voies orales) et de notre petit matériel (pinces, ciseaux, sondes…) peut, me semble-t-il, parfaitement être réalisé avec de l’alcool à 70° sans compromettre la sécurité des animaux et en accord avec les normes en vigueur. L’alcool à 70° est beaucoup moins dangereux que le glutaraldéhyde et présente de nombreux avantages dont notamment l’absence de nécessité de rinçage : une fois évaporé l’alcool ne laisse aucun résidu chimique sur le matériel faisant gagner un temps précieux aux équipes. En effet, durant la saison d’été, il n’est pas rare de devoir laver, désinfecter et rincer manuellement des dizaines voire centaines de seringues.

Ma recommandation est donc simple : remplacer le glutaraldéhyde par de l’alcool modifié à 70°.

Qu’en penses-tu ?


Pourquoi est ce que cette histoire de glutaraldéhyde est intéressante ? Admettons que je n’ai pas été attiré dans cette association via de la manipulation. Admettons également que les informations de dangerosité de cette substance (placée sur la liste des substances extrêmement préoccupantes par l’union-européenne) ne soit pas un faux grossier, une légende fabriquée à mon intention par les services secrets. Alors cela signifie que la réalité est ce qu’elle paraît être : une association de sauvegarde de la faune sauvage qui a crû bien faire en utilisant le stéranios mais qui faute de moyen et de personnels formés, n’est pas en mesure de respecter les règles de sécurité élémentaire. Pourquoi c’est intéressant ? Parce que c’est en contradiction complète avec tout ce que je vous dis. Si tous sont des agents cherchant à contrôler les paramètres pour obtenir un ordre parfait et une sécurité parfaite, il ne devrait pas y avoir ce « raté » du stéranios qui saute aux yeux du premier venu. C’est là qu’intervient mon hypothèse concernant l’autorité/le pouvoir. Selon une de mes hypothèses, les agents seraient autorisés à fonctionner en réseau dans l’obscurité tel qu’ils le font uniquement dans des cas précis : par exemple, avec un homme politique (détenteur à son insu d’une forme d’autorité). Cela correspondrait à « leur liberté d’expression » (les milliers de piqures envoyées chaque jour via des messages équivoques). Mais pour tout le reste de la vie courante, ils se l’interdiraient pour éviter de vivre dans une société contre-utopique où tout est scruté continuellement à la loupe. Et la présence de ce « raté » concernant le steranios serait le stigmate de ce fonctionnement : « on s’autorise l’union en surhomme/réseau dans l’obscurité avec les politiques mais pour tout le reste, on s’interdit de le faire y compris si cela engendre des dangers potentiels ».

Notez bien qu’il ne s’agit que d’une hypothèse parmi tant d’autres et que je dispose de plein de contre-arguments qui s’opposent à cette idée. Mais je la soumets à ceux qui comme moi, mènent l’enquête et cherche la vérité de toute leur âme dans toutes les directions.

Viafx24